Cirque Trottola.
Avec La Verrerie d’Alès – Pôle National Cirque Occitanie dans le cadre du festival Temps de Cirques.
Avec La Verrerie d’Alès – Pôle National Cirque Occitanie dans le cadre du festival Temps de Cirques.
Depuis plus de vingt ans, le Cirque Trottola sillonne les routes de France et d’ailleurs avec ses spectacles sous chapiteau. Avec cette cinquième création, ils tordent à nouveau la réalité, et créent un monde drôle et acrobatique ouvert au présent, ici et maintenant. Du grand art !
Le Cirque Trottola vous invite à vous réfugier dans son chapiteau rouge, conçu spécialement pour Strano par Atelier Gest à Montignargues. Une invitation à s’évader, loin du vacarme, de la brutalité, de l’absurdité du monde, de la guerre qui résonne au loin. Samuel Legal accompagne à l’orgue — oui, un orgue au cirque ! — les trois acolytes, pour former un quatuor improbable et jubilatoire au centre de la piste, tels des Sancho Panza, tous en selle sur le dos de cette bourrique nommée Strano (étrange, en italien). Le chapiteau se fait déborder par ces personnages, les rideaux se déchirent sous les maladresses des trop grands clowns. Les échelles de temps et d’espace se brouillent et font apparaître des personnages, des rouages, des bobines de clowns, vestiges d’un autre temps. Ce cirque est sur le point de craquer. Il est à l’image de notre temps… Pour sûr il y aura des trapèzes, des trucs et des bidules en l’air, du rire, des larmes, des portés acrobatiques, des frissons, du déraisonnable, de la musique. Titoune et Bonaventure Gacon nous offrent, encore une fois, un cirque magistral, d’une simplicité exigeante, qui émeut, déborde d’imagination, titille et nourrit notre âme d’enfant !
Le Cirque Trottola vous invite à vous réfugier dans son chapiteau rouge, conçu spécialement pour Strano par Atelier Gest à Montignargues. Une invitation à s’évader, loin du vacarme, de la brutalité, de l’absurdité du monde, de la guerre qui résonne au loin. Samuel Legal accompagne à l’orgue — oui, un orgue au cirque ! — les trois acolytes, pour former un quatuor improbable et jubilatoire au centre de la piste, tels des Sancho Panza, tous en selle sur le dos de cette bourrique nommée Strano (étrange, en italien). Le chapiteau se fait déborder par ces personnages, les rideaux se déchirent sous les maladresses des trop grands clowns. Les échelles de temps et d’espace se brouillent et font apparaître des personnages, des rouages, des bobines de clowns, vestiges d’un autre temps. Ce cirque est sur le point de craquer. Il est à l’image de notre temps… Pour sûr il y aura des trapèzes, des trucs et des bidules en l’air, du rire, des larmes, des portés acrobatiques, des frissons, du déraisonnable, de la musique. Titoune et Bonaventure Gacon nous offrent, encore une fois, un cirque magistral, d’une simplicité exigeante, qui émeut, déborde d’imagination, titille et nourrit notre âme d’enfant !
